Hélène, mon Amour !

Humble serviteur de Cupidon, mon mécène

Et corps et âme dévoué à notre bel Amour,

L'homme heureux que je suis, n'était qu'une âme en peine

En exil, suspendue et sans aucun recours,

Ni disposé d'aucune façon au bonheur.

Et un jour, vous voilà ! Surgie de nulle part!

M'inondant de lumière et effaçant mes peurs !

Ô mal assurance ! J'ai franchi tes remparts,

Ne répondant, envoûté, qu'à un seul appel,

A cette voie qui guidait chacun de mes pas,

Menant mon âme brisée devant vous, ma Belle,

Où la volupté me submergeait dans vos bras,

Unissant nos cœurs par un Amour éternel.

Rien ne pourra le défaire, ni mon trépas !

Anthony Majerès, le 16 Octobre 2008

(acrostiche en alexandrins)